Jamais, non, jamais faillir.
Être comme on vous imagine ni plus et surtout pas moins.
La gifle reçût à bon escient. Les mots la glace encore plus profondément que le temps.
Touchée, engourdie. Anéantie.
Retrouver sa jeunesse et avec la lenteur de l'age, savoir qu'il est temps de l'irréparable, se prendre par la main et partir.
Tête basse et cristaux qui fusent de la perte, du mal engendré.
"Oui je le savais, oui je le ressens... oui je suis coupable au delà et il n'y a ni retour ni chemin de coté pour rejoindre la route."
Possible que ressentir encore à ce point, fait qu'il faut se défaire à coup fouet.
Hurler en dedans, se griffer pour rester debout. Assumer.
Un rire fuse sur l'illusion, rien assumer du tout, se prendre en pitié et sombrer.
L'idée du crayon et a nouveau le rire moquer.
"N’aggrave pas ton cas et file te cacher, tu ne vaux même pas le papier sur lequel tu voudrais t'attarder."
Laisse un parchemin vierge prendre feu , le regarder prendre mal, se tordre et dispenser une odeur de mort, prendre celui qu'elle lui avait préparer pour l'occasion et recommencer, la grimace, constat que les encres brulent mieux.
Partir....
Arrivée au fond de la vallée, ce baptême lui ayant rien appris de plus que ce qu'elle savait bien avant.
Memento mori...